Jean-Marc Barr dans le Grand Bleu
L'un de mes films-culte est "Le grand bleu" de Luc Besson. Je l'ai vu dès sa sortie et je l'ai en DVD. Pendant une semaine où j'ai eu une forte grippe (novembre 2007), j'ai fait un curieux rêve. Je me trouvais un peu dans la situation de Jean-Marc Barr où, après la mort de son copain Enzo, il a une sorte d'hallucination : il est couché dans sa chambre d'Amorgos et celle-ci se remplit d'eau peu à peu. Dans mon rêve, c'était beaucoup moins angoissant que dans le film. Je me trouvais au fond de la mer et je voyais la lumière filtrée par l'épaisseur de l'eau très haut au-dessus de moi. Mais je n'avais aucune impression d'étouffement, je n'étais pas oppressé et je n'entendais pas les bruits faits par l'air qui s'échappe et le frottement de l'eau que l'on entend en plongée.
L'un de mes films-culte est "Le grand bleu" de Luc Besson. Je l'ai vu dès sa sortie et je l'ai en DVD. Pendant une semaine où j'ai eu une forte grippe (novembre 2007), j'ai fait un curieux rêve. Je me trouvais un peu dans la situation de Jean-Marc Barr où, après la mort de son copain Enzo, il a une sorte d'hallucination : il est couché dans sa chambre d'Amorgos et celle-ci se remplit d'eau peu à peu. Dans mon rêve, c'était beaucoup moins angoissant que dans le film. Je me trouvais au fond de la mer et je voyais la lumière filtrée par l'épaisseur de l'eau très haut au-dessus de moi. Mais je n'avais aucune impression d'étouffement, je n'étais pas oppressé et je n'entendais pas les bruits faits par l'air qui s'échappe et le frottement de l'eau que l'on entend en plongée.
Il faudra un jour que je vous parle de mes rêves et de l'importance qu'ils jouent dans ma vie. Je n'oublie pas non plus qu'ils ont présidé au choix du titre de ce blog et que certains se posent à ce sujet des questions auxquelles je n'ai pas encore donné de réponses. Ce sera pour plus tard...