Un titre énigmatique pour un blog qui me ressemble. Avec ces textes, ces images, ces musiques, je voudrais vous faire voyager en ma compagnie et vous faire partager mes goûts, mes heurs, mes douleurs, mes couleurs, mes coups de coeur...
"...don't be stuck in the every day reality, allow yourself to dream, have faith in your wildest dreams." [AaRON]
"Ne restez pas scotchés à la réalité quotidenne. Permettez-vous de rêver. Croyez en vos rêves les plus fous..." [AaRON]
Voici un nouveau coup de cœur musical. J'aime beaucoup le violoncelle. Parmi mes interprétations favorites, il y a bien entendu la merveilleuse suite pour violoncelle de Bach jouée par le grand violoncelliste catalan Pablo "Pau" Casals. Je possède un très vieux vinyl, qui craque beaucoup mais dont je ne me séparerai pour rien au monde, enregistré à Prades en 1950.
2Cellos est un duo de jeunes violoncellistes slovène-croates, composé de Luka Šulić et de Stjepan Hauser. Le groupe est engagé auprès de Sony Masterworks depuis le 12 avril 2011, grâce notamment au succès de leur reprise de "Smooth Criminal" de Michael Jackson.
Leurs débuts
Les deux musiciens ont une formation de musique classique. Ils se rencontrent au cours d'un Master Class. Šulić, le plus jeune d'entre eux (1987), étudie à l'Académie de musique de Zagreb puis à la Royal Academy of Music, et Hauser (1986) à la Royal Northern College of Music, de Manchester.
Considérés dans un premier temps comme des rivaux, cherchant la compétition à chaque concours, les deux garçons vont rapidement se lier d'amitié et mettre en commun leur savoir.
La création de leur première vidéo, une reprise de Smooth Criminal de Michael Jackson, est motivée par une grande difficulté financière et surtout inspirée par un ami de Hauser, un directeur qui leur propose de s'essayer à la musique pop : U2, Nirvana, Coldplay, Sting.
Ils apparaissent également dans la série culte Glee Saison 3 auprès de Santana Lopez et Sebastian dans l'épisode hommage à Michael Jackson.
"Beaucoup de grands chercheurs le savent : c'est en creusant longtemps un sujet précis et limité que, non seulement on fait les découvertes les plus importantes, mais aussi qu'on développe une méthode qui permettra de travailler ensuite tous les sujets. Voilà ce qu'il y a d'universel dans le singulier, chercher à tendre vers l'infini par l'exploration patiente du fini : voilà une leçon à méditer !"
Extrait de Zhu Xiao-Mei"La rivière et son secret" Paris, Robert Laffont, 2007. Ce livre est une autobiographie d'une musicienne chinoise qui a vécu l'enfer de la "Révolution culturelle" maoïste avant de pouvoir entreprendre une carrière de pianiste internationale.
L'ÉTRANGÈRE
Titre original: "O Dikastis"
(Paroles: Pierre Delanoë / Musique: M. Théodorakis, M. Eleftheriou, 1971)
Mélina Mercouri
Le rire des bourreaux est noir
L'innocent chante son espoir
Et l'adieu sur le quai d'un port oh oh oh oh
Avec la vie, avec la vie
Porte la mort
Monsieur le Juge porte la loi
Et la prison au bout des doigts
Moi l'étrangère universelle oh oh oh oh
Je porte le deuil de mon ciel
Moi l'étrangère universelle oh oh oh oh
Je porte le deuil de mon ciel
L'amour porte en lui le bonheur
Ou le chagrin selon les heures
Et la justice qui punit oh oh oh oh
Avec la Mort, avec la Mort
Porte la Vie
Et la colombe va s'envoler
Sous le nez du serpent volé
Moi l'étrangère universelle oh oh oh oh
Je porte le deuil de mon cie
l
Moi l'étrangère universelle oh oh oh oh
Je porte le deuil de mon ciel
Cette chanson a été écrite en 1971 et fait référence à la privation des droits civiques dont a été victime Melina Mercouri pendant la dictature militaire en Grèce (1967-1974). C’est aussi à cette période de sa vie qu’est consacré son livre autobiographique (qui est aussi une chanson) « Je suis née grecque ». Le livre, publié à Paris en 1971, devint un best-seller international et fut traduit dans une 30e de langues. Dans ce livre, Melina Mercouri crie sa douleur d’avoir dû quitter son pays et affirme que, née grecque, elle restera grecque jusqu’à la mort. Elle y dénie à tout régime politique le droit de la priver de sa nationalité.
Après son exil, Melina Mercouri entama une tournée internationale et chanta en faveur de la liberté de son pays, sans cesser d’apporter son soutien à la résistance grecque.
En 1974, à la fin de la dictature, elle retourna en Grèce où elle entra en politique. D’abord députée au Parlement, elle accèda au poste de ministre de la Culture de 1981 à 1989. Durant son mandat, elle se battit sans succès pour la restitution des œuvres d'art volées par différents pays, en particulier les frises du Parthénon, illégalement transportés en Grande Bretagne par Lord Elgin en 1801-1802, et entreposés depuis au British Museum de Londres.
En 1993, Melina Mercouri fut à nouveau nommée ministre de la Culture, poste qu’elle occupa jusqu’à sa mort en 1994, à New York. La Fondation Melina Mercouri continue aujourd’hui la lutte engagée par la comédienne-chanteuse pour la préservation des monuments grecs antiques.
Ces notes ont été prises en mars 2016. Je regardais une émission sur France 2 consacrée à Germaine Tillion et à Geneviève De Gaulle-Anthonioz.
"J'écoute Germaine Tillion parler. Je retrouve sa voix, ses expressions, sa simplicité, son humour même lorsqu'elle parle des horreurs qu'elle a vécues à Ravensbrück. J'ai la chance d'avoir connu une telle femme, un honneur d'avoir été reçu par elle dans son appartement de Saint-Mandé, là encore tout en simplicité. Elle m'a reçu avec amitié, m'a ouvert ses dossiers, montré ses photos, comme si j'étais quelqu'un de sa famille, un de ses petits-enfants."
Nous sommes restés en correspondance presque jusqu'à sa mort, dans ce même appartement de Saint-Mandé le 19 avril 2008.
Dépression au-dessus du jardin (Chanson de Serge Gainsbourg)
Dépression au-dessus du jardin
Ton expression est au chagrin
Tu as lâché ma main
Comme si de rien
N'était de l'été c'est la fin
Les fleurs ont perdu leurs parfums
Qu'emporte un à un
Le temps assassin
Dépression au-dessus du jardin
J'ai l'impression que c'est la fin
Je te sens soudain
Tellement lointain
Tu t'es égaré en chemin
Tu essayes de me faire croire en vain
Que l'amour revien-
dra l'été prochain
Je viens de lire L'horizon à l'envers de Marc Lévy, publié il y a un an (Robert Laffont, 2016). J'y relève certains passages.
" - Hope : Pourquoi me racontes-tu ça ?
" - Sam (son père) : Parce qu'il est des endroits, dans ce monde, où la mort emporte tant de gens que le temps du deuil ne dure pas plus d'un jour, parfois seulement une heure.Et puis, la mort est oubliée, parce qu'une autre lui succède et une autre encore, et si l'on ne donne pas tout ce que l'on a en soi pour survivre, c'est nous qu'elle emporte. C'est le quotidien de ceux qui subissent la guerre, de ceux qui meurent de faim ou sous les armes des tyrans, alors j'ai fini par penser que c'était un privilège que ta mère nous manque encore autant.
(...)
" - Josh : Je vais te confier quelque chose, Hope, quelque chose que je n'ai jamais dit, pas même à Luke. Je suis une imposture. Si tu savais tous les efforts que je fais pour ne pas devenir adulte. Je veux rester émerveillé comme quand j'avais douze ans (...)"
" - Josh : Je crois que l'on reconnaît parmi mille autres ceux qui aiment comme nous, ceux qui entretiennent l'espoir, ceux qui voient le monde avec la même innocence, ceux qui donnent d'eux-mêmes, mais pas de ceux qu'ils aiment." (p. 112)
Et encore :
"- Josh : La vie, la mort, ce n'est jamais qu'une question de temps." (p. 237)
J'ai été touché par cette chanson interprétée en anglais par un chanteur français Ben Ricour, que l'on entendait au cours du téléfilm Box 27passé sur France 2 le 1er février 2017.
Les fameuses lettres Hollywood vues depuis Hollywood Bd. (Los Angeles)
Ce post fait suite à celui que j'ai publié hier sur Roman Polanski.
Depuis que j'ai écrit ces notes (août 2016), j'ai fait deux très étranges rêves dans lesquels j'étais l'assistant de Roman Polanskisur un film qui se tournait dans un immense studio de cinéma. Il était prévu que bous visitions les studios d'Universal lors de notre voyage à Los Angeles au printemps 2016 mais je n'y suis pas allé. Pour bien faire, il aurait fallu visiter ceux de la Paramount, restés "dans leur jus" alors que ceux d'Universal sont devenus un vaste parc d'attraction qui n'a de "studio" que le nom. Du coup, quelques uns d'entre nous ont choisi d'aller visiter le Getty Center, immense musée moderne dessiné par l'architecte Richard Meier, qui se dresse tel un village toscan sur une colline au-dessus de la ville. Nous ne l'avons pas regretté.
Le Getty Center (Los Angeles)
Mais cela pour vous dire que, du coup, je n'ai pas visité de studios. Néanmoins, dans ce rêve, je me trouvais dans un gigantesque hangar aussi grand qu'un hangar de construction d'avion et qu'il s'y tournait un film dirigé par Polanski. Quelque temps plus tard, j'ai refait ce même rêve où je voyais le hangar sous un autre angle. Curieusement, alors que dans la réalité je n'ai jamais mis les pieds dans un de ces studios, j'ai vu exactement ce que mon rêve m'avait montré à deux reprises lors du visionnage d'un documentaire à la télévision sur Los Angeles. Dans l'un de ces reportages, le spectateur était invité à pénétrer dans l'un de ces vastes hangars dans lesquels se tournent les films hollywoodiens. Etrange "carambolage" entre rêve et réalité...
J'ai appris comme tout le monde la polémique soulevée par la proposition faite à Roman Polanski de présider la 42ème édition des César.
L'annonce de son nom avait provoqué un tollé sur les réseaux sociaux, notamment auprès des associations féministes, en raison d'une accusation de viol sur mineure remontant à 1977 pour laquelle un juge américain poursuit le célèbre réalisateur depuis près de 40 ans. Dieu sait que j'abhorre les violeurs mais il faut remettre les choses à leur place. Quand on regarde les faits, on se rend compte que le réalisateur a été piégé par une jeune fille en mal de notoriété qui n'avait rien d'une oie blanche. A l'époque, Polanski passa 42 jours en prison préventive, ce qui n'est pas rien, et plaida coupable (procédure de "Plea Bargain") avec, en contrepartie, la promesse du juge d'être libéré. Mais, se ravisant, ce même juge revint sur sa décision et, alors que Polanski était en Europe où il réside (Roman Polanski a la double nationalité française et polonaise), il lança contre lui un mandat d'arrêt international. On ne parle plus de l'affaire pendant des années, d'autant que la plaignante, après quelle ait reçu en 1993 500 000 dollars de dommages et intérêts, a retiré sa plainte et s'est engagée à ne plus jamais évoquer cette affaire.
Mais en 2009, un nouveau procureur voulant se faire de la publicité exhume l'affaire vieille de plusieurs dizaines d'années et réactive le mandat d'arrêt international. En septembre 2009, alors qu'il est invité à présider un festival de cinéma en Suisse, il est arrêté par la police à l'aéroport de Zurich, mis en prison, puis assigné à résidence. Un an plus tard, il est libéré après que les autorités suisses aient refusé son extradition. Le dernier rebondissement de cette affaire s'est joué récemment en Pologne où le tribunal a définitivement refusé d'extrader le réalisateur de 83 ans aux Etats-Unis comme l'avaient fait précédemment d'autres pays, comme la France, la Grande-Bretagne, le Canada, le Brésil, le Danemark, l'Allemagne, la Suède et la Thaïlande.
Est-ce à dire que Polanski ne s'est pas rendu coupable d'un viol commis il y a plus de 40 ans ? Sans doute que si... Mais l'invraisemblable acharnement de la justice américaine en est-il pour autant justifié ? Je ne le pense pas. D'autant que, depuis cette époque, Polanski a mené une vie exemplaire : après le décès de sa première épouse Sharon Tate, dans les épouvantables conditions que l'on sait, il s'est remarié en 1989, avec l'actrice Emmanuelle Seigner, avec laquelle il a deux enfants.
C'est un grand réalisateur auquel on doit l'admirable Le Pianiste(Palme d'or 2002 à Cannes), qui, sans être totalement autobiographique, rappelle les conditions terribles dans lesquelles il s'est échappé du ghetto de Cracovie. Je vous conseille de lire sa volumineuse et passionnante autobiographie ressortie l'an dernier, et sobrement intitulée Roman (à prendre dans les deux sens, Roman, le prénom de Polanski mais aussi le mot "roman" car sa vie est un authentique et émouvant roman.)
Après ce long préambule, qu'il me paraissait nécessaire pour que mes lecteurs puissent se faire une idée de ce que je pense de Roman Polanski, je voudrais justement citer des extraits provenant de cette autobiographie;
Au début de celle-ci, il écrit :
"Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, le frontière entre le réel et l'imaginaire a toujours été désespérément brouillée. Il m'aura fallu presqu'une vie pour comprendre que c'était là la clé de mon existence même. Cela m'aura valu plus que ma part de chagrins, d'affrontements, de catastrophes et de déceptions. Mais j'ai vu s'ouvrir devant moi des portes qui, sans cela, seraient demeurées fermées à jamais. L'art et la poésie, la fantaisie et l'imaginaire m'ont toujours paru plus réels que les étroites limites du monde au sein duquel j'ai grandi (...) Très jeune, j'avais déjà l'impression d'être différent de ceux qui m'entouraient. Je vivais dans un monde à part qui n'appartenait qu'à moi parce qu'il était le fruit de mon imagination."
Sans vouloir me comparer à lui (je n'ai pas son talent !), ni (heureusement) à la vie terrible et aux épreuves qu'il a eues à affronter, ces mots font écho à ce que j'ai moi aussi toujours ressenti. A tel point que j'aurais pu les écrire. Depuis mon plus jeune âge, je me suis toujours senti en décalage avec le monde qui m'entourait. J'ai toujours fait bonne figure, me satisfaisant de ce que j'avais. J'ai traversé la vie comme si elle n'avait été qu'une parenthèse, courte en vérité, car pas une seule fois dans mon existence, je n'ai vu le temps passer. A 68 ans, j'ai toujours l'impression d'en avoir 18. C'est d'ailleurs ainsi que, la plupart du temps, je me vois dans mes rêves et je me sens dans la vie. Je dois toujours calculer l'âge que j'ai. J'ai aussi l'impression de ne rien avoir accompli, en tout cas pas assez.
En reprenant mon carnet noir, dans lequel je note, au fur et à mesure qu'elles me viennent, mes pensées, des citations, souvent extraites des livre que je lis, des films que je vois ou des émissions que je regarde ou écoute, je relis ces notes prises en août 2016 au sujet de Nikola Tesla. Ce génie, à l'origine de la découverte du courant alternatif, était né en 1856 dans ce qui était à l'époque l'Empire Austro-Hongrois et qui est actuellement la Croatie. Il a 28 ans lorsque, lors d'un séjour à Paris, en 1882, il est recruté par la société Edison-General Electric et part aux Etats-Unis pour lequel il met au point quantité d'inventions, dont Thomas Edison s'attribuera le mérite. Quelques années après (en 1886), fâché avec Edison qui l'exploite éhontément et est jaloux de son génie, il fonde sa propre société, la Tesla Electric Light and Manifacturing mais, en désaccord avec ses financeurs, il en démissionne et, ruiné, il devient terrassier dans les rues de New York. Un an plus tard, d'autres financiers, conscients du potentiel extraordinaire de son génie, lui apportent l'argent pour fonder une autre société à son nom, la Nikola Tesla Company... Nous nous arrêterons-là car sa vie est un tel roman que nous vous invitons à la découvrir par vous-mêmes. Disons qu'on peut le créditer de l'invention (et de la maîtrise) du courant alternatif, des énergies à haute-fréquence, de la télécommande, etc. A sa mort (en 1943, à New York, dans la déchéance et la misère), il disait avoir mis au point un système de transmissions d'énergie à très longue distance, de radars, peut-être même de laser... Il travaillait aussi sur l'énergie libre. C'était un être fascinant, dont, malgré de nombreux livres qui sont loin de rendre compte de toute la complexité de sa personnalité et de l'étendue de son génie.
Pour en revenir à mes notes, les voici : Je suis en train de lire un livre sur la vie de Nikola Tesla (...). J'avais vu, il y a quelque temps, une émission qui lui était consacrée et, en allant à la bibliothèque chercher quelques livres, nous sommes tombés sur un curieux ouvrage de Jean Echenoz, intitulé "Des éclairs" (Ed. de Minuit) qui était en fait une sorte de biographie romancée de Nikola Tesla. Chapitre 21, j'y ai relevé ce passage qui parle de la relation que nous avons au temps :
"Avec tout ça, qui est allé vite comme toute sa vie, Gregor [qui est le surnom par lequel l'auteur désigne Tesla] va sur ses 55 ans. On ne se rend jamais compte à quel point c'est rapide alors que les journées traînent en longueur et que les après-midi sont interminables. On se retrouve doté d'un certain âge sans avoir bien compris comment, même si comme Gregor, on consulte sa montre tout le temps, même si celle-là ne donne qu(une idée imparfaite, tendancieuse et, pour tout dire, fausse de celui-ci."
- Nikola Tesla : "Mes inventions" Paris, Ed. Hadès, 2014
- John J. O'Neill et Cynthia Herpin : "Le génie prodigue, l'incroyable vie de Nikolas Tesla" Paris, Createspace independant publishing platform, 2015.
Suite à une interview réalisée en décembre, le Dauphiné Libéré m'a consacré un article en tant que fondateur de Cévennes Terre de Lumière (article publié en janvier 2017). Je les en remercie.
J"avais déjà parlé de ce jeune musicien sur ce blog et publié deux de ses chansons (avec traduction par mes soins) : Talk to me(Parle moi) et Red eyes. Je n'ai pas encore réussi à transcrire le texte de cette chanson, publiée sur son dernier clip. Thomas Azier est né en 1987 aux Pays-Bas. Son site officiel : http://thomasazier.com/
Fabien Nataf est un compositeur français qui écrit en anglais. Il a écrit la bande son de la série française "Clem" qui passe sur TF1. On entend en particulier cette chanson à l'occasion de l'enterrement de Julien, le premier amour de Clem et le père de Valentin (Vava).
Another time, another day Un autre moment, un autre jour
The ???, don't want to stay Le … , je ne veux pas rester
The flowers gone, I need to pray Les fleurs fanées, je dois prier
Just to keep my heart away (?) Juste pour garder mon coeur…
Why this darkness over me ? Pourquoi cette ombre au-dessus de moi ?
Like an angel, I can't see Comme un ange, je ne peux pas voir
I feel the same and you ??? Je pense la même choise et toi
Never hear again, never hear again Ne plus (t’) endendre à nouveau, ne plus (t’)entendre
Another time, another day
Another time, another day
...
Je n'ai pas réussi à transcrire la totalité des paroles de cette chanson. Je serais heureux si quelqu’un voulait me donner un coup de main…