Quoi (J'aimerais que la terre s'arrête pour descendre...)
(Cette chanson
a été écrite par Serge Gainsbourg à partir d’une mélodie italienne)
D'notre amour feu n'resterait que des cendres
Moi
J'aim'rais qu´la terre s'arrête pour descendre
toi
Tu m'dis qu’ tu n'vaux pas la corde pour te pendre
C't à laisser ou à prendre
Joie
Et douleur c'est ce que l´amour engendre
Sois
Au moins conscient que mon cœur peut se fendre
Soit
dit en passant j'ai beaucoup à apprendre
Si j'ai bien su te comprendre
Amour cruel
Comme un duel
Dos à dos et sans merci
Tu as le choix des armes
Ou celui des larmes
Penses-y
Penses-y
Et conçois que c´est à la mort à la vie
Quoi
D'notre amour fou n'resterait que des cendres
Moi
J'aimerais qu´la terre s'arrête pour descendre
Toi
Tu préfères mourir que de te rendre
Va donc savoir va comprendre
Amour cruel
Comme un duel
Dos à dos et sans merci
Tu as le choix des armes
Ou celui des larmes
Penses-y
Penses-y
Et conçois que c´est à la mort à la vie
Toi
Tu préfères mourir que de te rendre
Va donc savoir va comprendre
Va savoir va comprendre
Quoi
D'notre amour feu n'resterait que des cendres
Moi
J'aim'rais qu´la terre s'arrête pour descendre
toi
Tu m'dis qu’ tu n'vaux pas la corde pour te pendre
Histoire de la chanson
Jane Birkin se trouvait alors en Italie pour enregistrer une émission de
télévision de la RAI 2, Cinecittà. on lui a alors proposé d'interpréter
la chanson du générique, Come un gabbiano (Comme un goéland). Repérant un
autre thème des mêmes auteurs, les frères Guido et Maurizio de Angelis
et de leur parolier Cesare de Natale, elle téléphona depuis Rome à Serge Gainsbourg pour lui demander d’écrire les paroles françaises de cette chanson. Il lui envoya aussitôt le texte par fax. Quoi, sorti en single en 1985, devent immédiatement
un succès et fut couronné par un disque d'argent correspondant à 250 000
exemplaires vendus. L’année suivante, Philips sortit sous ce titre une
compilation de douze chansons de Jane Birkin. En 1985, Jane était séparée de
Gainsbourg depuis cinq ans. Le thème de la chanson est celui de la séparation :
« De notre amour feu ne resteraient que les cendres ».
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