"...don't be stuck in the every day reality, allow yourself to dream, have faith in your wildest dreams." [AaRON]

"Ne restez pas scotchés à la réalité quotidenne. Permettez-vous de rêver. Croyez en vos rêves les plus fous..." [AaRON]

dimanche 27 novembre 2011

MUSIQUE ET DANSE : IRON & WINE "BOY WITH A COIN"

Pour une fois, ce n'est pas une erreur (avis à mes censeurs-qui-ne-laissent-rien-passer... Ils se reconnaîtront !), j'ai déjà publié ce clip mais je le re-publie car j'ai enfin trouvé, d'une part, le réalisateur (en l'occurence, une réalisatrice) du clip. La chorégraphe du stupéfiant ballet de flamenco que l'on voit en arrière-plan est Yaelisa. A propos, Iron and Wine, c'est lui, le barbu en pull rouge au 1er plan, il s'appelle Samuel Beam. La chanson qu'il interprète s'intitule : "Boy with a coin". J'en ai trouvé les paroles mais elles ne sont pas évidentes (mais alors, pas du tout !!!) à traduire. Donc, je vous demande un peu de patience. Le titre a été publié sur l'album "Sheperd's dog" (le chien de berger). La jaquette est assez horrible. Le chien en question ferait plutôt penser à un chien de l'enfer qu'à un tranquille chien de berger, mais bon. La musique est belle, les paroles aussi et la chorégraphie et le clip tout simplement sublimes. Regardez et écoutez !



Donc, la réalisatrice-chorégraphe (?) est une américaine d'origine italienne du nom de Lauri Faggioni. Elle a aussi travaillé pour la publicité et est aussi l'auteur(trice) du clip "Mad world" de Gary Jules. Elle a aussi travaillé sur le film "La science des rêves" de Michel Gondry que je n'ai pas vu mais dont je vous parlerai dès que ce sera fait sur mon blog cinéma.


Ah, last but not least, j'avais découvert Iron and Wine, dans la BO de Twilight avec sa chanson "Flightless Bird, American mouth" que l'on entend dans la scène du bal de fin d'année.

jeudi 24 novembre 2011

CARNET BLEU : BELLA DANS TWILIGHT



"When life offers you a dream so far beyond any of your expectations, ti's not reasonable to grieve 
when it comes to an end."


"Quand la vie vous offre un rêve au-delà de tout ce que vous pouviez souhaiter, il n'est pas raisonnable d'exprimer de regret quand il se termine."

Bella dans Préface à Twilight. 

mercredi 23 novembre 2011

CARNET BLEU : POESIE (ALFRED DE MUSSET)





"Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble, 
que l'âme est immortelle et qu'hier c'est demain."

Alfred de Musset

MUSIQUE/MUSIC : NICK DRAKE "DAY IS DONE"



Pour moi, une nouvelle découverte : Nick Drake, de son vrai nom Nicholas Rodney Drake qui eut un destin tragique. Né en 1948, il est mort à l'âge de 26 ans. C'était un compositeur de génie d'une sensibilité à fleur de peau. Souffrant de dépression et d'insomnies, sa mort s'apparente à un suicide par suite de l'absorption trop importante d'un antidépresseur puissant. Son premier album Five leaves left (Cinq feuilles laissées de côté) n'eut de succès que dans un cercle restreint d'admirateurs et il en souffrit énormément. Le grand public ne le découvrit qu'au début des années 2000 grâce à une publicité pour Volkswagen qui utilise un extrait de Pink moon (Lune rose) tirée de son 3ème et dernier album homonyme, et la Croix Rouge qui reprend sa chanson A stranger among us (Un étranger parmi nous). Si vous ne le connaissiez pas, je suis heureux de contribuer à mon humble niveau à vous faire découvrir ce chanteur.

mardi 22 novembre 2011

MUSIQUE/MUSIC : "AGAIN" BY ARCHIVE

Archive : Again

You're tearing me apart
Tu me mets en morceaux
Crushing me inside
Tu m’écrases de l’intérieur
You used to lift me up
C’est toi qui me  portais
Now you get me down
Maintenant tu me jettes  à terre

If I
Si je
was to walk away
devais m’éloigner
From you, my love
De toi, mon amour
Could I laugh again?
Pourrais-je encore rire ?

If I
Si je
walk away from you
m’éloigne de toi
And leave my love
Et que j'abandonne  mon amour
Could I laugh again?
Pourrais-je rire encore
Again, again...
Encore, encore

You're killing me again
Tu me tues à nouveau
Am I still in your head?
Suis-je toujours dans ta tête ?
You used to light me up
C'était toi qui me portais
Now you shut me down
Maintenant tu as tout éteint

If I
Si je
was to walk away
devais m'éloigner 
From you, my love
de toi, mon amour
Could I laugh again?
Pourrais-je encore rire ?

If I
Si je
walk away from you
m'éloignes de toi
And leave my love
Et si j'abandonne mon amour 
Could I laugh again?
Pourrais-je rire encore? 

I'm losing you again
Je te perds à nouveau
Lacking me inside
Tu me manques à l’intérieur
I used to lift you up
Jusque là, c’est moi qui te portais
Now I get you down
Maintenant, je te jettes à terre

 Without your love
Sans ton amour
You're tearing me apart
Tu me mets en morceaux
With you close by
Avec toi à mes côtés
You're crushing me inside
Tu m'écrases de l'intérieur
Without your love
Sans ton amour
You're tearing me apart
Tu me mets en morceaux
Without your love
Sans ton amour
I'm doused in madness
Je me noies dans la folie
I can't lose the sadness
Je ne peux retrouver le bonheur

Can't lose the sadness
Je ne peux retrouver le bonheur

Can't lose the sadness
Je ne peux retrouver le bonheur

You're tearing me apart
Tu me mets en morceaux
Crushing me inside
Tu m'écrases de l'intérieur
Without your love
(you used to lift me up)
You're crushing me inside
(now you get me down)
With you close by
I'm doused in madness
Can't lose the sadness
It's ripping me apart
Ça me déchire
It's tearing me apart
Ça me mets en pièces
It's tearing me apart
Ça me mets en pièces
I don't know how
Je ne sais pas comment
It's ripping me apart
Ça me déchire
It's tearing me apart
It's tearing me apart
I don't know why
I don't know why
I don't know why
I don't know why
Without your love
Without your love
Without your love
Without your love
It's tearing me apart

Essai de traduction par Roland Comte

CARNET BLEU : WILLIAM CORLETT


Voici une nouvelle citation d'un auteur anglais, William Corlett, que j'aime beaucoup pour la finesse avec laquelle il exprime les sentiments et les états d'âme, en particulier dans son livre "Now and Then":


"And I, I was in a strange limbo world, a world of moving shadows, and evolving emotions, a world as unfamiliar to me as the world outside Eden must have been to those two poor innocents who transgressed only because it had been made possible for them to do so and were doomed to suffer the consequences for the rest of eternity." 


[Now and Then, by William Corlett] 


Que je vais essayer de vous traduire ainsi :


"Et moi, j'étais dans l'étrange monde des limbes, un monde d'ombres mouvantes et d'émotions changeantes qui m'était aussi étranger que le monde que trouvèrent hors du Jardin d'Eden ces deux pauvres innocents qui transgressèrent  les règles seulement parce que cela leur avait été rendu possible et furent condamnés à en payer le prix pour le reste de l'éternité."

En lisant ces lignes, j'ai immédiatement pensé à cette image du désespoir et de l'incompréhension peinte par  Masaccio dans la chapelle Brancacci à Florence, représentant Adam et Eve chassés du Paradis.

lundi 21 novembre 2011

CARNET BLEU : LE REVE




De Chirico - le retour d'Ulysse


"... la somnolence qui le conduisit dans l'une de ces errances oniriques dont il était coutumier et qui occupaient quatre-vingt-dix pour cent de son temps de sommeil (du moins en avait-il l'impression) (...) Chaque fois qu'il émergeait d'un rêve, Purcell Forbes éprouvait la même impression de chute et d'impact brutal. (...)"

Serge Brussolo. "Le livre du grand secret" 

DANSE : MIKHAIL BARYCHNIKOV INTERPRETANT LE JEUNE HOMME ET LA MORT



Extrait du film de Taylor Hackford, Soleil de nuit, où le grand danseur étoile Mikhail Barychnikov interprète "Le jeune homme et la mort", chorégraphie de Roland Petit sur une idée de Jean Cocteau, en ouverture du film (Voir ma critique de ce film sur Cinérock07)

CARNET BLEU : LE PASSE ET L'AVENIR

Paul Delvaux - Ville lunaire



"Je crois, moi, que le passé nous guette, nous attend, tout autant que l'avenir. Parfois j'arrive presque à me persuader qu'il est part de l'avenir. Seul le présent n'a ni forme, ni réalité."


Richard Cowper, in : "Le manuscrit de Cartwright" partie de la trilogie de Corlay.

MUSIQUE : JANE BIRKIN "QUOI"



Quoi (J'aimerais que la terre s'arrête pour descendre...)

(Cette chanson a été écrite par Serge Gainsbourg à partir d’une mélodie italienne)

D'notre amour feu n'resterait que des cendres

Moi

J'aim'rais qu´la terre s'arrête pour descendre

toi

Tu m'dis qu’ tu n'vaux pas la corde pour te pendre

C't à laisser ou à prendre

Joie

Et douleur c'est ce que l´amour engendre

Sois

Au moins conscient que mon cœur peut se fendre

Soit

dit en passant j'ai beaucoup à apprendre

Si j'ai bien su te comprendre

Amour cruel

Comme un duel

Dos à dos et sans merci

Tu as le choix des armes

Ou celui des larmes

Penses-y

Penses-y

Et conçois que c´est à la mort à la vie

Quoi

D'notre amour fou n'resterait que des cendres

Moi

J'aimerais qu´la terre s'arrête pour descendre

Toi

Tu préfères mourir que de te rendre

Va donc savoir va comprendre

Amour cruel

Comme un duel

 

Dos à dos et sans merci

Tu as le choix des armes

Ou celui des larmes

Penses-y

Penses-y

Et conçois que c´est à la mort à la vie

Toi

Tu préfères mourir que de te rendre

Va donc savoir va comprendre

Va savoir va comprendre

Quoi

D'notre amour feu n'resterait que des cendres

Moi

J'aim'rais qu´la terre s'arrête pour descendre

toi

Tu m'dis qu’ tu n'vaux pas la corde pour te pendre

Histoire de la chanson

Jane Birkin se trouvait alors en Italie pour enregistrer une émission de télévision de la RAI 2, Cinecittà. on lui a alors proposé d'interpréter la chanson du générique, Come un gabbiano (Comme un goéland). Repérant un autre thème des mêmes auteurs, les frères Guido et Maurizio de Angelis et de leur parolier Cesare de Natale, elle téléphona depuis Rome à Serge Gainsbourg pour lui demander d’écrire les paroles françaises de cette chanson. Il lui envoya aussitôt le texte par fax. Quoi, sorti en single en 1985, devent immédiatement un succès et fut couronné par un disque d'argent correspondant à 250 000 exemplaires vendus. L’année suivante, Philips sortit sous ce titre une compilation de douze chansons de Jane Birkin. En 1985, Jane était séparée de Gainsbourg depuis cinq ans. Le thème de la chanson est celui de la séparation : « De notre amour feu ne resteraient que les cendres ».

J’ai cru pendant longtemps que les paroles étaient « J’aimerais que le train s’arrête pour descendre ». J’avais d’ailleurs mis cette phrase en exergue de ce post. Ce n’est que récemment, lors d’une interview de Jane rediffusé après sa mort, que j’ai compris mon erreur. Sachant que les paroles étaient de Gainsbourg, j’aurais dû me douter que c’était un poil plus recherché. Je rectifie donc aujourd’hui : « J’aimerais que la terre s’arrête pour descendre », en saluant le génie des mots qu’était Gainsbourg.

CARNET BLEU : LES RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE


J'ai trouvé cette citation de Jean-Jacques Rousseau dans le livre du jeune prodige Marien DEFALVARD "Du temps qu'on existait" :

"Je suis sur terre comme sur une planète étrangère d'où je serais tombé de celle que j'habitais."

(Jean-Jacques Rousseau : "Les rêveries du promeneur solitaire."

Inutile de dire combien je me retrouve dans cette citation...

samedi 19 novembre 2011

MUSIQUE : ERIK TRUFFAZ QUARTETT



J'ai découvert cet artiste dans la BO de la série française Clara Sheller saison 2 et j'ai
beaucoup aimé. Je vous le fais découvrir à mon tour. Il s'appelle Erik Truffaz. Il est suisse. Dans ce titre, qui fait partie de l'album Arkhangelsk (sorti en 2007), il est accompagné de 3 autres musiciens et d'un chanteur, du nom d'Ed Harcourt. Je remercie Jeremiah qui a réalisé l'enregistrement et les images et a mis cela sur Youtube.Erik Truffaz est publié par le label Blue note.
Si vous voulez mieux connaître cet artiste, rendez-vous sur son blog qui, comme celui-ci, est hébergé sur Blogger : http://www.eriktruffaz.blogspot.com/ Vous aurez aussi un lien avec son site officiel et son myspace.

mardi 8 novembre 2011

CINEMA : NOUVELLES CRITIQUES SUR CINEROCK07

Rendez-vous sur Cinérock07 pour trois nouvelles critiques de films :



  • Le Grand Meaulnes de Jean-Daniel Verhaeghe (2006)
  • Shakespeare in love de John Madden (1998)
  • Clara Sheller, série TV française de Nicolas Mercier

MUSIQUE : PLACEBO "PROTECT ME FROM WHAT I AM"

La vidéo de cette chanson, mise en ligne en août 2008, avait été supprimée. La revoici.



Protect me from what I am (Lyrics/Paroles) 

It's the desease of the age
It's the desease that we crave
Alone at the end of the rave
We catch the last bus home
Corporate America wakes
Coffee republic and cakes
We open the latch on the gate
Oh the hole that we call our home


Protect me from what I want (X 3)
Protect me protect me


Maybe we're victims of fate
Remember when we'd celebrate
We'd drink and get high until late
And now we're all alone


Wedding bells ain't gonna chime
With both of us guilty of crime
And both of us sentenced to time
And now we're all alone


Protect me from what I want (X 5)
Protect me protect me
Protect me from what I want...
Protect me protect me


Protect me from what I want...
Protect me protect me
Protect me from what I want...
Protect me protect me


Placebo Protect Me From What I Want

Il existe différentes transcriptions de ce texte et une traduction "officielle" réalisée par Virginie Despentes. Ci-dessous, je vous donne mon propre essai de traduction.


Protect me from what I am
Protège-moi de moi-même

It’s the desease of the age
C’est la maladie du moment
It's the desease that we crave
C’est la maladie qu’on souhaite 
Alone at the end of the rave
Seuls à la fin du délire
We catch the last bus home
On saute dans le dernier bus pour rentrer
Corporate America wakes
L’Amérique du fric se réveille
Coffee republic and cakes
La république du café et des gâteaux
We open the latch on the gate
On ouvre le loquet de la porte
Of the hole that we call our home
Du trou qui nous sert de chez nous

Protect me from what I want...
Protège-moi de ce que je veux
Protect me protect me
Protège-moi, protège-moi

Maybe we're victims of fate
Peut-être sommes-nous les victimes du hasard
Remember when we'd celebrate
Rappelle-toi quand nous faisions la fête
We'd drink and get high until late
Nous voulions boire et rester éveillés jusqu’au matin
And now we're all alone
Et maintenant, nous sommes tout seuls

Wedding bells ain't gonna chime
Les cloches de la noce ne carillonneront plus
With both of us guilty of crime
Pour deux criminels comme nous
And both of us sentenced to time
Pour deux condamnés à perpétuité
And now we're all alone
Et maintenant nous sommes tout  seuls

Protect me from what I want...
Protège-moi de ce que je veux
Protect me protect me
Protège-moi, protège-moi
Protect me from what I want...
Protect me protect me

Protect me from what I want...
Protect me protect me
Protect me from what I want...
Protect me protect me

Placebo Protect Me From What I Want

La traduction « officielle » est assez différente du texte original. Je l’indique car elle a été reprise par Placebo dans certains de ses concerts en France ou pays francophones.

Protect me

C'est le malaise du moment
L'épidémie qui s'étend
La fête est finie, on descend
Les pensées qui glacent la raison
Paupières baissées, visage gris
Surgissent les fantômes de notre lit
On ouvre le loquet de la grille
Du taudis qu'on appelle maison

Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me
Protect me

Protège-moi, protège-moi [x4]

Sommes-nous les jouets du destin
Souviens-toi des moments divins
Planants, éclatés au matin
Et maintenant nous sommes tout seuls
Perdus les rêves de s'aimer
Les temps où on avait rien fait
Il nous reste toute une vie pour pleurer
Et maintenant nous sommes tout seuls

Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me
Protect me

Protect me from what I want (Protège-moi, protège-moi)
Protect me from what I want (Protège-moi, protège-moi)
Protect me from what I want (Protège-moi, protège-moi)
Protect me
Protect me

Protège-moi, protège-moi [x2]

Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me
Protect me
[x3]



Thanks to subxavier for adding these lyrics.
Thanks to kathleendehaemers for correcting these lyrics and to rock07 for correcting the corrections…  


Thanks to Paroles-musiques.com

dimanche 6 novembre 2011

MUSIC : ANTONY & THE JOHNSONS "SOFT BLACK STAR"



This is a group from New York I discovered recently "Antony and the Johnsons" interpreting Soft Black Star Isn't it wonderful ? The singer is Antony Hegarty, performer : Indy Hait, video and editor Marc Nevsky on You Tube 19/02/2011. Thanks !

CINEMA : "LE CONCERT" DE RADU MIHAILEANU (2009)


Je ne sais pas si vous avez eu l'occasion de voir ce film lors de sa sortie en salles en 2009 (Avec Mélanie Laurent). C'est un film magnifique, dans la lignée de "Soleil de nuit", "La légende du pianiste sur l'océan" ou "Diva". Il raconte l'histoire d'un talentueux chef d'orchestre du Bolchoï "mis au placard" sous Brejnev pour s'être opposé à la répression contre les musiciens juifs de son orchestre. Il détourne une invitation officielle faite au Bolchoï par le Théâtre du Châtelet  pour venir jouer à Paris et reconstitue son ancien orchestre disparu. C'est très beau, très drôle et très émouvant et l'interprétation du Concerto pour violon et orchestre en ré majeur de Tchaikovski (par l'Orchestre Symphonique de Budapest) y est tout simplement inoubliable.
Voir ma critique complète sur Ciné Rock07 (en date du 05/11/2011).