Un titre énigmatique pour un blog qui me ressemble. Avec ces textes, ces images, ces musiques, je voudrais vous faire voyager en ma compagnie et vous faire partager mes goûts, mes heurs, mes douleurs, mes couleurs, mes coups de coeur...
"...don't be stuck in the every day reality, allow yourself to dream, have faith in your wildest dreams." [AaRON]
"Ne restez pas scotchés à la réalité quotidenne. Permettez-vous de rêver. Croyez en vos rêves les plus fous..." [AaRON]
In this video, Klaus sings Purcell's strange aria "The Cold Song" from the English 17th century baroque opera King Arthur
The opera's composer Purcell died in 1695 from incurable T.B. aged 36, while in 1983 Klaus sadly died succumbing to complications due to Aids, aged 39. Both men were remarkably talented but died so young.
The Lyrics to this old aria are strangely prophetic. Watching it now, knowing what a difficult time Klaus was having, just adds to its intensity and sadness.
Apportez votre soutien à l'enseignant du collège de Berlaimont (Nord) qui avait été inculpé de "violences aggravées" pour avoir donné une gifle à un élève qui l'avait injurié. Son procès a été reporté au 25 juin. Si vous n'êtes pas au courant des faits, allez voir mon post du 17 février 2008 et si vous ne l'avez pas encore fait, signez la pétition en sa faveur [http://www.lille.snes.edu/spip9/spip.php?article1369#sp1369].
Voir les dernières nouvelles émanant du SNES de Lille sur cette incroyable affaire :
"Bonjour, Comme 40 000 personnes, vous avez signé la pétition en faveur du professeur du collège Gilles de Chin à Berlaimont (Nord). Il est inculpé sous des chefs d’accusation très graves, pour une gifle donnée à un élève qui l’avait insulté. Toutes les signatures et tous les témoignages que vous avez laissés sur le site du SNES de Lille lui ont été transmis. Notre collègue a refusé de plaider coupable et le procès a été reporté. Il sera donc jugé le 25 juin au tribunal d’Avesnes sur Helpe. La section académique du SNES et le SNES national avaient exprimé leur soutien au collègue en dénonçant immédiatement la procédure et la brutalité de la réaction policière et judiciaire. Vous avez participé au vaste mouvement de solidarité en sa faveur qui doit se poursuivre aujourd’hui : il faut être très nombreux à Avesnes à 13h 30. Le SNES a déposé un préavis de grève pour tous les collègues qui souhaiteront s’y rendre."
Le secrétariat académique du SNES de Lille : s3lil@snes.edu
Fred Chichin, le guitariste du duo rock français les Rita Mitsouko, est décédé en décembre 2007 à l'âge de 53 ans, des suites d'un cancer fulgurant, ont annoncé la maison de disques Because et l'organisateur de concerts Corida. Cette maladie a emporté le guitariste en deux mois. Les Rita Mitsouko, que Fred Chichin avait formés avec sa compagne, la chanteuse Catherine Ringer, en 1979, avaient dû annuler plusieurs concerts, dont celui prévu samedi 24 novembre à Lille, ces jours derniers en raison de l'état de santé du guitariste. Ils auraient dû notamment se produire mercredi soir à L'Olympia. Leur dernier album, Variety, était sorti en avril. Les Rita Mitsouko sont les auteurs de nombreux tubes dans les années 80, dont Marcia baila, Y a d'la haine, Andy, Les histoires d'A ou C'est comme ça. Merci à http://www.lexpress.fr/mag/arts/dossier/chanson/dossier.asp?ida=462202&xtor=SEC-101-GOO&gclid=CJPJs7fbiZACFR9paAodcAFOtw pour ces informations.
Commentaire de :maryse2riviere a dit… Merci Roland merci déjà de me tenir au courant de tes mises à jour merci d'avance de continuer, s'il te plaît merci surtout, ce soir, pour Fred Chichin et Guy Moquet ...amitiés 8 décembre 2007
Cette musique fait partie de la BOF du filmThe Plague/La Peste de Luis PUENZO(avec Jean-Marc Barr et Sandrine Bonnaire). Ce film est librement adapté de l'oeuvre d'Albert Camus. "Psalmus Ode" est interprété par un jeune soprano anglais du nom de Jeremy Budd. Cette musique ne se trouve que dans le CD "Vangelis-Reprise 1990-1999 [East-West 3984298282].
Une très belle chanson, écrite par George Michael et superbement interprétée par la grande Joan Baez. Ce n'est cependant pas une vision très joyeuse de l'Amérique qui nous est proposée là...
Paroles originales :
Jimmy Got Nothing made himself a name
With a gun that he polished for a rainy day
A smile and a quote from a vigilante movie
Our boy Jimmy just blew them all away
He said it made him crazy
Twenty five years living hand to mouth
Hand to mouth, hand to mouth, hand to mouth
Sweet little baby on a big white doorstep
She needs her mother but her mother is dead
Just another hooker that the lucky can forget
Just another hookerIt happens everyday
She loved her little baby
But she couldn't bear to see her living hand to mouth
Hand to mouth, hand to mouth, hand to mouth She believes in the gods of America
She believes in the land of the free
No one told me
That the gods believe in nothing
So with empty hands I pray
And from day to hopeless day, they still don't see me Everybody talks about the new generation
Jump on the wagon or they'll leave you behind
But no one gave a thought to the rest of the nation
"Like to help you buddy, but I haven't got the time"
Somebody shouted save me
But everybody started living hand to mouth
Hand to mouth, hand to mouth, hand to mouth
There's a big white lady on a big white doorstep
She asked her daddy and her daddy said "yes"
Has to give a little for the dollars that we get
Has to give a little -They say it's for the best
Somebody shouted : Maybe !
But they kept on living from hand to mouth
Hand to mouth, hand to mouth, hand to mouth So she ran to the arms of America
And she kissed the powers that be
Someone told me
That the gods believe in nothing
So with empty hands I pray
And I tell myself, one day
They just might see me...
Traduction proposée :La main devant la bouche (vivre au jour le jour, sans avenir ni espoir)
Jimmy Got Nothin’ (« Jimmy Qui N’a Rien ») se fit lui-même un nom
Avec un revolver qu’il astiquait en vue d’un mauvais jour
Un sourire et une citation tirés d’un film
Et notre gars, Jimmy, les abattit juste comme ça Il a dit que cela l’avait rendu dingue
Vingt-cinq ans passés à vivre ainsi sans avenir ni espoir ...
Un doux petit bébé sur le seuil d’une grande porte blanche
Elle a besoin de sa mère, mais sa mère est morte
C’est juste un nouveau coup du sort que ceux qui ont de la chance peuvent oublier
C’est juste un coup du sort, cela arrive tous les jours
Elle aimait son petit bébé,
Mais elle ne pouvait supporter de la voir vivre ainsi, sans avenir ni espoir
Elle croyait en les Dieux de l’Amérique
Elle croyait en la terre de la liberté
Personne ne lui avait dit que les Dieux ne croyaient en rien
Aussi, c’est les bras vides qu’elle priait,
Et avec moins d’espoir à chaque jour qui passait, ils ne la voyaient même pas
Tout le monde parle d’une nouvelle génération
Qui a sauté dans le train en marche
Mais personne n’a eu la moindre pensée pour ceux qui sont restés sur le quai
J’aimerais t’aider, petit, mais je n’ai pas le temps
Quelqu’un a crié « sauvez-moi ! »
Et tout le monde a mis la main devant sa bouche
Il y a une grosse dame blanche sur le seuil d’une grande porte blanche
Elle appelle son père, son père répond « oui »
Il faut donner un peu
Il faut donner un peu, ils disent que c’est pour faire le bien
Quelqu’un répond « peut-être »
Mais ils continuent à vivre au jour le jour
Alors elle court se réfugier dans les bras de l’Amérique
Et elle embrasse le pouvoir
Oh, quelqu’un m’avait dit que les Dieux ne croyaient en rien
Aussi j’ai prié avec les bras vides
Et je me suis dit à moi-même qu’un jour peut-être enfin ils poseraient les yeux sur moi...
Merci à Marie-Cécile Oubrier qui m'a signalé que "To live hand to mouth" signifiait en anglais "Vivre au jour le jour" (c'est-à-dire "sans avenir ni espoir"). Thanks to her !