Réminiscences
Où sont les costumes de brocart
la main tendue haut
devant les murs couverts de pesantes tentures
Où est mon habit de soie verte
le loin pas des chevaux résonnant sur les dalles
le château sur l'à-pic qui domine l'abîme
Réminiscences
Une musique étrange tourbillonne dans ma tête
Autour de moi, l'air est chargé de brouillard
j'avance sur un invisible chemin
mes bras sont devenus des ailes
Réminiscences
Je passe entre deux haies de noirs cyprès
les larmes embuent mes yeux
je suis si fatigué
le voyage est si long
Réminiscences
Un paysage de forêts infinies
et de lacs brillant comme pierres de lune
et toujours cette même musique
qui me poursuit et qui m'appelle
Réminiscences
[Extrait du recueil inédit : Paroles du vent, par Roland Comte]
la main tendue haut
devant les murs couverts de pesantes tentures
Où est mon habit de soie verte
le loin pas des chevaux résonnant sur les dalles
le château sur l'à-pic qui domine l'abîme
Réminiscences
Une musique étrange tourbillonne dans ma tête
Autour de moi, l'air est chargé de brouillard
j'avance sur un invisible chemin
mes bras sont devenus des ailes
Réminiscences
Je passe entre deux haies de noirs cyprès
les larmes embuent mes yeux
je suis si fatigué
le voyage est si long
Réminiscences
Un paysage de forêts infinies
et de lacs brillant comme pierres de lune
et toujours cette même musique
qui me poursuit et qui m'appelle
Réminiscences
[Extrait du recueil inédit : Paroles du vent, par Roland Comte]
Beau poème et belle photo.
RépondreSupprimerMerci.
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