"...don't be stuck in the every day reality, allow yourself to dream, have faith in your wildest dreams." [AaRON]

"Ne restez pas scotchés à la réalité quotidenne. Permettez-vous de rêver. Croyez en vos rêves les plus fous..." [AaRON]

mardi 16 août 2011

ART CONTEMPORAIN : MARIO PRASSINOS

Photo originale de Roland Comte

Mon goût pour l'art contemporain ne date pas d'hier. Voici un carton d'invitation que je viens de retrouver, servant de marque-page à un de mes livres d'art. Il a longtemps figuré sur les étagères de ma bibliothèque et  a fini par bien s'abîmer. Il s'agit d'un carton, sous forme de triptyque avec, d'un côté, le texte de l'invitation au vernissage, et de l'autre, ce dessin de Mario Prassinos. L'exposition "Travaux en noir et blanc" avait lieu dans l'ancien Couvent royal de Saint-Maximin (Var). La date n'y figure pas mais, grâce à Internet (décidément, ceux qui ne l'utilisent pas ne savent pas ce qu'ils perdent !), je l'ai retrouvée : c'était en juin 1974. J'avais dû y être invité à travers le groupe de yoga à l'Université de Grenoble, dirigé par Luigi Ciccione, dont je faisais partie à l'époque. Après la mort de Luigi, de qui j'étais très proche, je suis resté plusieurs années en contact avec certaines personnes de ce groupe puis le temps nous a séparés. Si certains tombent sur ce blog et s'ils veulent me recontacter, que cette invitation au vernissage de l'exposition Prassinos leur serve de sésame.

2 commentaires:

  1. Mario ? Ce prénom m’évoque un souvenir de St Maximin, mais ne remet pas de visage sur ce nom ! Je suis Christian Ciccione, fils de Luigi et parti prenante dans ce stage de St Maximin où mon père m'avait confié un groupe du soir orienté vers l'expression corporelle et le souffle !
    Content de retrouver des traces de 1970 ! J'avais 21 ans !

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  2. Bonsoir Christian. Comme quoi, internet est une formidable source de contacts quoiqu'en disent ses détracteurs. En 1974, je n'étais déjà plus à Grenoble (j'ai eu mon diplôme de Sciences Po en 1972) mais à Paris, où je continuais en vue d'une thèse à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Comme je l'écris dans mon post, j'avais dû être invité à ce stage par Françoise de Jonquières avec qui j'étais resté en contact et que j'avais revue à Paris. Je ne me souviens pas de toi. On doit avoir à peu près le même âge. Dommage que tu ne laisses pas ton email. Le mien est dans la colonne de droite. J'espère que tu consulteras ma réponse. A bientôt peut-être ?

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