Photo de Roland Comte prise lors d'un voyage en Bretagne
Ô ange !
Ô ange ineffable
Le pauvre humain ne te
voit pas
Mais il frissonne lorsque, soudain, tu le pousses à l’épaule
Et lui dis d’avancer
Ou quand tu le retiens
et empêches sa chute
Mais les enfants, oui,
les animaux aussi
Ressentent ta présence
Et les artistes qui te
peignent avec de longues ailes
Touchant le sol et
allant jusqu’au ciel
C’est qu’ils ne savent
pas comment te dire…
Pourtant, il n’est
qu’à regarder,
Dans le jour
finissant, les ombres s’allonger
Et dans le ciel
diaphane, les traces de ton vol
Pour être convaincu
que tu es là, toujours…
Tu es compatissant aux
faibles et exigeant aux forts
Et n’abandonnes pas
ceux qui viennent à toi
Et demandent ton aide
Mais tu exiges d’eux
qu’ils soient sincères et vrais
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RépondreSupprimerJe ne sais pourquoi, ce soir, en rentrant d’une interminable séance de vœux !, j’ai eu envie de rechercher le mot « poésie » sur ton blog et... surprise, j’ai découvert ton poème sur l’Ange. Vraiment tu m’étonneras toujours ! Car... j’en ai découvert un autre de toi et peut être que ce blog si intéressant, en conserve d’autres encore... Je vais rêver que ton ange se penche sur mon épaule... [AAC]
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