"Spirale" de Calder, Palais de l'Unesco Paris
(photo de Jean-Pierre Dalbera, sur Flikr, avec son autorisation)
Aujourd'hui, Google nous annonce par un doodle représentant un mobile de Calder le 118ème anniversaire du sculpteur Alexander Calder
Le premier mobile que j'ai vu de lui, c'était lors d'un voyage scolaire à Paris organisé par notre super professeur d'anglais de l'époque, Melle. Yvette Bourdeix, à qui je dois mon amour pour la langue anglaise. C'était dans les années 60. Elle avait organisé une visite de l'immeuble du siège de l'Unesco. Elle nous avait fait abonner au magazine publié en anglais par l'Unicef, "Le courrier de l'Unicef" (dont je dois encore avoir la collection quelque part) et nous faisait travailler dessus. Il faudrait que je vous en parle une autre fois de manière plus développée car c'était une révolutionnaire dans son genre.
Bref, mon premier contact avec Calder avait été à cette occasion. Il y en a eu depuis de nombreuses autres: à la Fondation Maeght à St. Paul-de-Vence, un lieu que j'aime particulièrement ou à la Fondation Gianadda à Martigny en Suisse ou, plus récemment au Musée Guggenheim de Bilbao que nous avons visité lors de notre retour de Compostelle.
Voici une citation d'A. Calder trouvée sur le site du musée de Bilbao au sujet de sa sculpture "La pesanteur et la grâce" qui, je trouve, permet de mieux comprendre ce qu'a poursuivi le sculpteur tout au long de sa vie :
"Pourquoi l'art devrait-il être statique ? En regardant une œuvre abstraite, qu'il s'agisse d'une sculpture ou d'une peinture, nous voyons un ensemble excitant de plans, de sphères, de noyaux sans aucune signification. Il est peut-être parfait mais il est toujours immobile. L'étape suivante en sculpture est le mouvement".
Alexander Calder, 1932.
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