"...don't be stuck in the every day reality, allow yourself to dream, have faith in your wildest dreams." [AaRON]

"Ne restez pas scotchés à la réalité quotidenne. Permettez-vous de rêver. Croyez en vos rêves les plus fous..." [AaRON]

jeudi 29 septembre 2011

EN SOUVENIR DE MATTHIEU


Matthieu, tu nous a quittés y a déjà un mois. Pour moi, pour ta famille, pour tes amis, ce fut un choc, comme un coup de tonnerre dans un ciel sans nuages. La nouvelle qui vous tombe dessus et qui vous assomme.
Même si je peux penser à toi avec un peu moins de chagrin maintenant, la tristesse est toujours là, et elle le restera longtemps.
Lors de la cérémonie à Laurac, j'ai appris que tu étais très attaché à Notre-Dame et que tu allais souvent lui rendre visite à Lablachère. Cela nous rapproche encore un peu plus. Alors, ne pouvant pas faire grand chose d'autre, me sentant tellement démuni devant ce départ que tu as choisi et que nous devons respecter, je t'offre cette photo, prise récemment à Saint Jean-le-Centenier car, en la voyant ouvrir ainsi les bras, j'ai pensé à toi.  Qu'elle t'accueille et te console !

CARNET BLEU

Nicolas de Staël - Ciel

"D'un côté, il y a nos contemporains dépassés par la course du monde, pour qui donner du sens aux évènements devient un besoin vital... De l'autre se trouvent des manipulateurs aux visées lointaines ou immédiates, au-dessus de la morale et des lois pour parvenir à leurs fins..."

Extrait des "Enquêtes occultes" par Kevin Brender, livre fictif cité par Erik L'Homme, Phaenomen, T.3, p. 56

mercredi 28 septembre 2011

CARNET BLEU : LE TEMPS





"Je pense souvent, le coeur serré, à ces années gaspillées de l'enfance, quand on se croit riche encore d'une vie à venir. Aujourd'hui, le compte à rebours est lancé, je maudis les heures perdues à attendre. C'est la vraie différence entre l'homme et ses dieux : un dieu a tout le temps pour exister. Il ne reste à l'homme, pour la même chose, qu'à se jeter follement dans le peu de temps qui lui est imparti." 


Erik L'Homme - Phaenomen, T. 3, p. 17

mardi 27 septembre 2011

ESKOBAR & EMMA DAUMAS - "SOMEONE NEW"



ESKOBAR & Emma DAUMAS interprètent "Someone new" [Quelqu'un d'autre] (écrit par Heather Nova)


ESKOBAR & Emma DAUMAS interprètent "Someone new" (écrit par Heather Nova)

So is it goodbye?
Alors, c'est le moment de se dire au revoir ?
Is it time to set you free?
C'est le moment de te laisser partir?
Is it time to let it fly?
C'est le moment de laisser tomber ?
Is it time to let it bleed?
C'est le moment de laisser saigner ? 

We used to take turns
On avait pris l'habitude chacun à notre tour
To cover up the pain
De cacher notre douleur
Deep below it burns
Mais cela brûle quand même au fond de nous
And the feelin' still remains
Et la souffrance est toujours là

Chorus:
You're gonna find someone new
Tu vas en trouver un autre
I really hope you do
J'espère vraiment que tu le trouveras
'Cause I love you
Parce que je t'aime
And the sun will come on thru,
Et le soleil finira par percer
It's gonna shine for you
Il va briller pour toi
'Cause I adore you
Parce que je t'aime vraiment beaucoup

Yes, we gave it a try
Oui, nous avons essayé
But maybe for too long
Mais peut-être, il s'est passé trop de temps
Out of every sorrow
Une fois oublié le chagrin
Another day will dawn
Il y aura une aube nouvelle

Chorus

And the road travels on
Et la route continue
But I'm still near you
Mais je suis encore auprès de toi
In my life, like a song
Dans ma vie, comme une chanson
I will still hear you
Je t'entendrai encore
Still ...
Encore
You're gonna find someone new
Tu vas en trouver un autre
I really hope you do
J’espère vraiment que tu le trouveras
'Cause I love you
Parce que je t’aime

Chorus 2x

The sun will shine for you
Le soleil brillera pour toi
The sun will shine for you
Le soleil brillera pour toi
'Cause I adore you...
Parce que je t’aime vraiment beaucoup


Essai de traduction de Roland Comte avec l'aide de MCO.   

CARNET BLEU


Je vous présente mon "Carnet bleu". Ce carnet m'avait été offert lorsque j'étais libraire et que je me rendais régulièrement  au Salon du Livre de Paris. Cela devait être dans les années 1994-1996. J'y suis allé quatre ou cinq ans de suite. J'aurais voulu qu'il devienne un journal mais je n'ai jamais eu la discipline nécessaire pour en tenir un.
Aussi, j'ai commencé à y noter des idées, des réflexions qui me passaient pas la tête et surtout des citations entendues à la radio, à la télévision, lues dans des magazines, des répliques de films, des extraits de livres... Rarement (mais parfois des idées personnelles - certaines m'ont servi par la suite à écrire des poèmes ou des nouvelles). A plusieurs reprises, comme cela m'arrive de temps en temps dans ce blog qui au fond, n'est rien d'autre qu'une sorte de "carnet bleu" informatique, avec des options et des outils en plus (vidéos, musiques, liens, etc.), je me répète, renotant une citation que j'ai déjà notée... Heureusement que je vous ai, vous, mes lecteurs fidèles, pour me signaler que, de temps en temps, je "radote"... Alors, n'hésitez pas, je ne vous en voudrai pas. Si vous constatez que j'ai déjà abordé un même thème, dites-le moi !
Enfin, voilà, les présentations sont enfin faites. Vous savez ce qu'est ce fameux "Carnet bleu".
Que vous dire d'autre, qu'il n'est pas très grand (13,5 X 20). Cela me permet de le transporter lorsque je suis en voyage. Qu'il est recouvert de toile bleu marine (ça, vous vous en seriez douté !) Qu'il était constitué à l'origine de pages blanches, d'un très beau papier (du Calypso 135 gr. des papeteries Arjo-Wiggins pour être précis). Excusez-moi, mais je n'ai jamais compté le nombre de ses pages. Mais qu'en plus - chose que vous ne pouvez voir sur la photo, outre le sigle du Salon du Livre, il y a une inscription imprimée en creux (je crois que les bibliophiles disent "au fer"). Cette inscription dit : "Ecrire, se souvenir".  Enigmatique, n'est-ce-pas ?  Oui, et cela me convient tout-à-fait.

A bientôt donc pour d'autres citations extraites du "Carnet bleu" qui pour vous, désormais, qui me suivez sur ce blog, aura un (ou plutôt 2) visage(s).

lundi 26 septembre 2011

KEANE : "EVERYBODY'S CHANGING"



Keane : "Everybody's changing" (Tout le monde change)


Keane : “Everybody’s changing”

You say you wander your own land
Tu dis que tu erres sur ta propre terre
But when I think about it
Mais, quand j'y pense
I don't see how you can
Je ne vois pas comment tu peux

You're aching, you're breaking
Tu as mal, tu es brisé
And I can see the pain in your eyes
Et je peux voir la peine dans tes yeux
Says everybody's changing
On dit que tout le monde change
And I don't know why
Et je ne sais pas pourquoi

So little time
Si peu de temps
Try to understand that I'm
Pour essayer de comprendre ce que je suis
Trying to make a move just to stay in the game
Tentant de faire un mouvement juste pour rester dans le jeu
I try to stay awake and remember my name
J'essaie de rester éveillé et de me rappeler mon nom
But everybody's changing and I don't feel the same
Mais tout le monde change et je ne me sens plus le même

You're gone from here
Tu es parti 
Soon you will disappear
Bientôt tu disparaîtras
Fading into beautiful light
T'estompant dans la belle lumière
'cause everybody's changing
Parce que tout le monde change
And I don't feel right
Et je ne me sens pas bien

So little time
Si peu de temps
Try to understand that I'm
Pour comprendre ce que je suis
Trying to make a move just to stay in the game
I try to stay awake and remember my name
But everybody's changing and I don't feel the same

So little time
Try to understand that I'm
Trying to make a move just to stay in the game
I try to stay awake and remember my name
But everybody's changing and I don't feel the same


Essai de traduction par Roland Comte

Thanks to/Merci à : http://www.greatsong.net/ pour ces paroles (Lyrics)

CARNET BLEU : LE SOUVENIR SELON RILKE


Portrait de Rilke par E. Olrik (Biblothèque de Vienne)


"Le souvenir est un départ. Quelque chose de nous qui, au lieu de nous suivre, prend son écart et s'habitue aux cieux."


Rainer-Maria Rilke, Vergers, 33.  

EN SOUVENIR DE SYLF


Sylf était une écrivaine qui habitait, avec son mari Kerlam, peintre, à Saint-Montan, en Ardèche. Nous nous étions rencontrés grâce à une amie commune, Iris Bréval. J'étais alors étudiant à Paris. Nous partagions ensemble des intérêts pour l'ésotérisme et la spiritualité. Sylf avait écrit une trilogie inspirée de ses visions de l'Atlantide et d'époques encore plus reculées : Kobor Tigan't (1969), Le règne de Ta (1971), Markosamo le Sage (1973). Dès notre première rencontre, nous nous sommes "re-trouvés" comme des amis qui se seraient revus après une longue séparation. Nous sommes immédiatement "tombés en amitié", comme disent les Québécois, et nous n'avons cessé de l'être et de nous voir régulièrement, à chacun de mes passages en Ardèche, jusqu'à ce que je quitte la France pour les Iles Canaries où je devais passer trois des plus belles années de ma vie (1976-1979). A mon retour, en juillet 1979, j'appris que Sylf était gravement malade et qu'après avoir vendu leur maison de Saint-Montan, Sylf et Kerlam étaient partis pour la Haute-Provence. Préoccupé par ma propre carrière professionnelle, je ne poussai pas l'enquête pour connaître leur nouvelle adresse. J'appris trop tard que Sylf  était décédée le 28 novembre 1980 à l'âge de 56 ans, sans que nous nous ayons pu nous revoir.

C'est elle qui, au cours d'une de nos discussions à Saint-Montan, me parla de Rilke. Elle me conseilla de lire "Les cahiers de Malte-Laurids-Brigge". J'achetai le livre dès mon retour à Paris. Mais il ne correspondait pas à ma sensibilité du moment et je le laissai tomber après les premières pages... J'y revins beaucoup plus tard après avoir découvert par moi-même la correspondance de Rilke avec la Princesse Von Turn und Taxis chez qui il écrivit son chef-d'œuvre, les Elégies de Duino alors qu'il séjournait au château de Duino, aux environs de Trieste, sur la mer Adriatique. C'est par les Elégies que je suis entré dans l'intimité de l'œuvre de Rilke que, depuis, je n'ai plus quittée.  Merci à Sylf de m'avoir fait découvrir Rainer-Maria Rilke.

samedi 24 septembre 2011

ETHEL ET JULIUS ROSENBERG



ROSENBERG. Ce matin, en me réveillant, j'avais ce nom en tête. Je n'avais pourtant ni lu, ni vu quoique ce soit ces jours derniers qui aurait pu me rappeler l'affaire Rosenberg. Dans les années 50, en pleine guerre froide et en plein maccarthysme, les époux Rosenberg, Ethel et Julius, juifs et communistes, ont été accusés d'espionnage au profit de l'URSS et, après un procès qui eut un retentissement mondial, ils furent condamnés à la peine de mort. Le procès, monté de toutes pièces par le FBI et la CIA, se déroula dans une ambiance de lynchage et les Rosenberg n'avaient aucune chance. Malgré une mobilisation internationale sans précédent (en particulier d'intellectuels et d'artistes français de tout bord), ils furent mis à mort par électrocution à la prison de Sing Sing, le 19 juin 1953. Ils laissaient deux enfants de 7 et 3 ans, Michaël et Robert qui furent adoptés par le chanteur Abel Meeropol (plus connu sous son nom de scène Lewis Allan) et sa femme Anne dont ils prirent le nom.S'inspirant de la lettre écrite par Ethel Rosenberg à ses fils, Jean Ferrat a écrit la chanson "Si nous mourons".  


Si nous mourons...


Vous apprendrez un jour mes fils vous apprendrez
Pourquoi nous reposons sous terre
Le livre à moitié lu le chant interrompu
Et la besogne inachevée

Ne pleurez plus mes fils mes fils ne pleurez plus
Le monde entier saura le pourquoi du mensonge
Et de la calomnie le monde entier saura
Nos pleurs et notre peine

Joyeux et vert mes fils mes fils joyeux et vert
Sera le monde au-dessus de nos tombes
Les tueries cesseront la terre fleurira
Dans la paix fraternelle

Travaillez construisez mes fils un monument
A l'amour à la joie à la valeur humaine
Et à la foi que nous avons gardée
Pour vous mes fils mes fils pour vous

(Ethel Rosenberg, lettre à ses fils)

mardi 20 septembre 2011

FAIRE-PART DE (RE)NAISSANCE : MON BLOG CINEMA A CHANGE DE PEAU



Je craignais le pire lorsqu'Allociné a annoncé son intention de "faire migrer" les blogs cinéma de son site sur un autre hébergeur, en l'occurence Overblog J'avais pris des précautions de sioux pour copier tous mes posts déjà publiés (plus de 140 critiques de films, séries télé, bios, etc. depuis 2008) craignant de les perdre "in translation"... Or, tout s'est à peu près bien passé et, même si j'ai eu un peu de mal et ai passé beaucoup de temps à comprendre le fonctionnement de ce nouveau type de blog (et à le maîtriser), le résultat est meilleur (même s'il n'est pas parfait) qu'avec Allociné. Donc, "good bye" sans regret à Allociné Rock07 et "welcome" au nouveau blog ciné de Rock07 sur Overblog. A ce jour, j'ai publié 184 articles. J'en reprends et complète des anciens, essayant d'y introduire des liens, des vidéos, voire des musiques que je n'avais pu placer sur Allociné. J'espère que vous y trouverez votre intérêt et j'attends vos réactions, vos critiques, vos suggestions... Car le cinéma est pour moi une façon d'accéder aussi à ce monde du rêve sans lequel il me manquerait quelque chose. A bientôt donc sur http://cinerock07.over-blog.fr/

vendredi 16 septembre 2011

NOUVELLE : "UN HOMME ORDINAIRE"


Dessin de Roland Comte (d'après photo)

Cela fait longtemps que je n'avais pas écrit de nouvelle. En voici une, écrite presque d'un trait, fin août. J'espère qu'elle vous plaira.

Un homme ordinaire 

J’étais dans la rue et, soudain, il était là. Je ne sais pas d’où il est arrivé. Je ne l’ai pas vu venir.

Il n’avait rien de particulier : un homme ordinaire. Son âge ? Je dirais… entre deux âges, ni jeune ni vieux… Si, plutôt jeune en fait…

Comment il était habillé ? Je n’en sais rien, je n’y ai pas fait attention.

Ses cheveux, son visage ? Je ne sais pas… Ses yeux, si. Il avait des yeux… Comment dire ? Etranges, oui, étranges. Son regard était étrange. Mais pour le reste, non.

Il m’a dit bonjour. Ou, est-ce moi ? Je ne me rappelle lequel des deux a dit bonjour à l’autre ou si seulement nous nous sommes dit bonjour. Peut-être, après tout, que nous ne nous sommes pas salués.

Il a sorti un papier de sa poche. Il y avait une adresse. C’était dans le coin, à deux pas d’ici. Je lui ai indiqué la direction : vous repartez par là, puis vous tournez à gauche… Non, attendez, vous prenez cette rue, non, pas la première, la suivante. Oui, c’est cela, la suivante. C’est par là. Vous demanderez quand vous y serez… On vous dira…

Il a remis le papier dans sa poche. Il a fait un signe de la main, ça oui, je me le rappelle. Un signe… bizarre… Comme celui que font les saints sur les vitraux des églises ; comme ses yeux qui regardaient au loin…

J’ai d’ailleurs eu envie de me retourner pour voir s’il y avait quelqu’un derrière moi à qui ce regard et ce signe se seraient adressés. Mais non, je ne l’ai pas fait. Je n’ai pas eu le temps.

Il m’a tourné le dos, il a fait quelques pas et il a disparu, comme s’il n’avait jamais été là, comme il était apparu, là, devant moi.

Et c’est là que je me suis aperçu que, lorsqu’il s’était retourné, il n’y avait pas d’ombre... 


Il aurait dû y avoir une ombre, non ?

Mais, à part ça, je vous dis, c’était un homme ordinaire.


Roland Comte, nouvelle, (Aubenas, 23/08/2011) 

mercredi 14 septembre 2011

JAMES BLAKE "THE WILHELM SCREAM"



James BLAKE : "The Wilhelm scream"

I don't know about my dreams
Je ne sais rien au sujet de mes rêves
My brother and my sister don't speak to me,
Mon frère et ma soeur ne me parlent pas
but I don't blame them.
Mais je ne les blâme pas
I don't know about my dreamin anymore.
Je ne sais pas si je vais encore rêver
All that I know is
Tout ce que je sais, c'est que
I'm fallin, fallin, fallin, fallin.
Je suis en train de tomber, tomber, tomber
Might as well fall in.

I don't know about my love.
Je ne sais rien sur mon amour
I don't know about my lovin anymore.
Je ne sais pas si j'aimerai encore
All that I know is
Tout ce que je sais c'est que
I'm fallin, fallin, fallin, fallin.
je suis en train de tomber, tomber, tomber,
Might as well fall in.
Je pourrais aussi bien tomber à l'intérieur (de moi-même)[?]

I don't know about my dreams.
I don't know about my dreamin anymore.
All that I know is
I'm fallin, fallin, fallin, fallin.
Fallin.

I don't know about my love.
I don't know about my lovin anymore.
All that I know is
I'm lovin, fallin, lovin, lovin.
Might as well love you.

I don't know about my love.
I don't know about my lovin anymore.
All that I know is
I'm turnin, turnin, turnin, turnin,
Might as well turn in.

I don't know about my dreams.
I don't know about my dreamin anymore.
All that I know is
I'm fallin, fallin, fallin, fallin.
Might as well fall in.

I don't know about my love.
I don't know about my lovin anymore.
All that I know is
I'm fallin, fallin, fallin, fallin.
Might as well fall in.

I don't know about my dreams.
I don't know about my dreamin anymore.
All that I know is
I'm fallin, fallin, fallin, fallin.
Fallin.

I don't know about my love.
I don't know about my lovin anymore.
All that I know is
I'm lovin, lovin, lovin, lovin.
Might as well love you.

I don't know about my dreams.
I don't know about my dreamin anymore.
All that I know is
I'm fallin, fallin, fallin, fallin.
Might as well fall in.

Thanks to/Merci à : Xtralyrics.com
Essai de traduction par Dreamcatcher.

CARNET BLEU : LE FUTUR EST-IL ECRIT ?


Je viens de relire en anglais les deux premiers volumes de Twilight. Alice, la "soeur" d'Edward a le don de clairvoyance. Comme les questions sur le temps et la mémoire, c'est un sujet qui m'a toujours fasciné. J'ai relevé ces phrases car elles m'ont paru très intéressantes :

- Dans la 1ère citation, c'est Edward qui parle à propos des visions d'Alice




"That's true. She [Alice] knows other things. She sees things - things that might happen, things that are coming. But, it's very subjective. The future isn't set in stone. Things change."


"C'est vrai. Elle [Alice] sait d'autres choses. Elle voit des choses - des choses qui peuvent arriver, des choses qui vont arriver. Mais, c'est très subjectif. Le futur n'est pas gravé dans la pierre. Les choses changent."


- Dans la 2ème citation, il s'agit toujours des visions d'Alice :

"Yes, things change..." she murmured - hopefully, I thought. "Some things are more certain than others... like the weather. People are harder. I only see the course they're on while they're on it. Once they change their minds - make a new decision no matter how small - the whole future shifts."


"Oui, les choses changent..." murmura-t-elle - avec espoir, je pense. "Certaines choses sont plus sûres que d'autres... comme le temps. C'est plus difficile avec les gens. Je vois seulement le chemin qu'ils prennent quand ils y sont engagés. Une fois qu'ils ont pris une nouvelle décision, aussi infime soit elle - le futur entier se modifie."   

jeudi 1 septembre 2011

"AMAZING GRACE"

Matthieu avait demandé que l'on diffuse pendant la cérémonie à l'église ce gospel en anglais  "Amazing grace" composé en 1779, par un pasteur protestant du nom de John Newton. Il est ici interprété par Charlotte Church.


Amazing Grace, how sweet the sound,
Grâce étonnante, doux murmure
That saved a wretch like me.


Qui sauva le misérable que j'étais
I once was lost but now am found,
J'étais perdu mais je suis retrouvé

Was blind, but now I see.
J'étais aveugle, mais maintenant je vois
T'was Grace that taught my heart to fear.
C'est la grâce qui m'a enseigné la crainte

And Grace, my fears relieved.
Et la grâce qui a apaisé mes peurs

How precious did that Grace appear
Combien précieuse cette grâce m'est apparue

The hour I first believed.
A l'heure où pour la première fois j'ai cru
Through many dangers, toils and snares
A travers les dangers, les filets et les pièges

I have already come;
Je suis enfin arrivé

'Tis Grace that brought me safe thus far
C'est la grâce qui m'a protégé jusqu'ici

and Grace will lead me home.
et la grâce me mènera à bon port
The Lord has promised good to me.
Le Seigneur m'a fait une promesse

His word my hope secures.
Sa parole affermit mon espoir

He will my shield and portion be,
Il sera mon bouclier et mon partage

As long as life endures.
Tant que la vie durera
Yea, when this flesh and heart shall fail,
Et quand cette chair et ce coeur auront péri 

And mortal life shall cease,
Et que la vie mortelle aura cessé

I shall possess within the veil,
Je posséderai dans l'au-delà

A life of joy and peace.
Une vie de joie et de paix
The earth shall soon dissolve like snow
La terre fondra bientôt comme de de la neige
The sun forbear to shine
Le soleil cessera de brillerBut God, who called me here below
Mais Dieu, qui m'a appelé ici bas
Will be forever mine
Sera toujours avec moi

Amazing Grace, how sweet the sound,
That saved a wretch like me.
I once was lost but now am found,
Was blind, but now I see.



Thanks to constitution.org for the lyrics